Aujourd’hui je me suis entrainé sur ARED. C’est un appareil
difficile à utiliser car il faut savoir le monter entièrement une fois dans
l’espace : le mode d’emploi est donc à apprendre par cœur. Cette machine
parmi tant d’autres est capable de prévenir des effets néfastes de
l’impesanteur sur plusieurs plans. Malgré son apparence de machine de torture
elle est nécessaire pour le maintien de la force musculaire et de la densité
osseuse :60% des muscles qui composent notre
corps, s’opposent continuellement à la gravité terrestre.
Cependant dans l’espace, les muscles sont très peu sollicités car la force
gravitationnelle est faible. Nos muscles s’affaiblissent et se détériorent
lorsqu’on ne les utilise pas régulièrement ou qu’on ne fait pas suffisamment
d’exercice. Ce processus s’appelle l’atrophie musculaire. Des études
ont révélé que la masse musculaire des astronautes qui participent à un vol
spatial d’une durée de cinq à onze jours diminue jusqu’à
20 %. Malheureusement cette perte de masse musculaire peut s’avérer
dangereuse pour nous.
Ce site a été créé pour un projet de TPE pour la session 2016-2017 et est entièrement fictif. Portant sur Thomas Pesquet et l'entrainement physique des astronautes, ce blog a pour but de relier les matières du sport et de la physique-chimie. Par Oriane Boivin, Cécile Daubech et Thomas Bufanio, toute reproduction est interdite sans l'autorisation des auteurs.
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ARED
La seule façon d’atténuer l’atrophie musculaire consiste à se soumettre à des exercices physiques intensifs, particulièrement à un entraînement en force, et à s’alimenter de façon adéquate. Nous devons ; à bord de la Station spatiale internationale (ISS) ; consacrer chaque jour deux heures et demie à leur entraînement physique. Il existe pour ça différents exercices : les tapis de course, le vélo, les appareils de musculation.
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